Plusieurs articles de presse et émissions de télévision parlent de l’agence FH-ARCHITECTE.
Deux articles ont par exemple été publiés en 2022 et en 2023 dans « l’Essentielle Immo de la Libre Belgique » à propos des défis énergétiques rencontrés en architecture. Bénéficiant d’une bonne expertise en architecture durable et passive et dans tout ce qui concerne la performance énergétique des bâtiments, notre agence est, en effet, régulièrement sollicitée pour émettre un avis technique ou participer à des tables rondes avec d’autres représentants de la construction.
En novembre 2021, trois projets d’architecture ont été sélectionnés pour être ouverts au public lors des journées « Week-end Maisons et Architectes »: une maison à Uccle avec extension au rez-de-chaussée et rehausse de la façade arrière, un cabinet dentaire à Auderghem ainsi qu’un appartement à Uccle rénové en profondeur.
Enfin, trois projets de l’agence FH-ARCHITECTE ont été mis à l’honneur en mars 2014 dans l’émission « Clef sur porte » d’RTL TVI: voir lien ci-après: « gagner de la place dans les petits espaces »
Nos publications
Construire ou rénover sa maison, Quels enjeux ?
Publication | Essentielle Immo – La Libre Belgique
2023 | Crédit photos Jean Christophe Guillaume
« Si l’attrait pour l’achat de biens existants reste soutenu, encore faut-il que l’acquéreur se montre prudent et qu’il inclue le budget rénovation dans sa démarche. Cela nous ramène à la capacité de remboursement explique F. Hoorickx. Or, à travers les expertises que nous réalisons, force est de constater que la majorité des candidats acheteurs/rénovateurs évaluent mal ce facteur.
Aujourd’hui une rénovation lourde raisonnable (pas de luxe) incluant énergie et finitions oscille entre 1800 et 2000 €/m² contre 1300 il y a 3 ans !
Il faut comprendre que les complexités du bâti existant (surtout à Bruxelles) et les contraintes urbanistiques (Good Living, RRU et PEB) ont profondément modifié la démarche et alourdi les coûts. Jusqu’en 2008, un bien était jugé de qualité dès lors qu’il disposait d’un bon toit, de bons châssis et d’une bonne chaudière.
Le coût de sa rénovation variait alors entre 900 et 1000 €/m² (en valeur constante). Aujourd’hui le même bien doit disposer d’une VMC, voir ses façades et ses planchers être isolés, etc.
Question : A quel niveau d’exigence se situera le point de rupture de ce marché ? »